Chaque exemplaire d’un livre peut appartenir à plusieurs vies – Erri de Luca
J’ai toujours aimé les belles histoires. Les belles et les moins belles. Les tristes et celles qui font remonter le temps. Un temps où -parfois- je n’étais pas née. Dans vos yeux, j’ai pourtant l’impression que c’était hier. Je vous écoute. Et puis, du livre, nous parlons parfois de vos parents, de votre famille et de ces secrets, de vos passions. Vous m’amenez de la réflexion, des cultures et de la découverte. Chaque livre est unique, à l’Atelier. Il est davantage unique parce que vous l’êtes : unique. Alors, je m’affaire en y mettant tout mon cœur. Quelques semaines plus tard, vous le découvrez et il a bien changé. Vous le voyez, autrement. Parfois, comme d’un accord, vous souhaitez le rendre invisible. Invisible aux yeux des autres et pourtant bien visible pour vous. Dans cette invisibilité, il n’y a aucune curiosité. Il devient votre jardin secret, votre cabinet de curiosités personnel.