📚 Temps de lecture : 1 minute



Dodécaèdre. Nom difficilement verbalisé sans un peu d’entraînement, je dois bien l’avouer. 12 faces, 12 mois. Une année, un cycle.
Quand j’ai créé ce livre, j’avais oublié mon amour pour la géométrie. Je suis une grande fan des mathématiques. Saviez-vous qu’il y a plusieurs siècles, les mathématiques et la philosophie étaient fortement mêlées . Je suis autant avide du nombre d’or que de l’Odyssée. J’aime quand les choses sont parfaites, parfaites à l’œil, comme si c’était une évidence.
Ce dodécaèdre, je le vois comme un tout, comme la boîte de Pandore, que l’on ne résiste pas à ouvrir. J’y vois un serpent dévorant la vie. J’y vois la vie au travers le cycle de la nature. Douze faces pour représenter la beauté.
Le texte était là, aussi, une évidence. Une liste évoquant tout ce qu’il y a de plus beau au fil des saisons, d’une journée en partant de l’aurore pour finir, délicatement, vers le crépuscule.

Ce livre en volume, si délicat. Il prend vie dans nos mains, dans la façon de l’ouvrir.

Ce noir, si obscur et pourtant si observateur s’opposant au blanc si lumineux.

dodécaèdre